24 heures dans la vie d'une femme de Stefan Zweig

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Nous sommes dans une petite pension de famille sur la Riviera française au début des années 1900. Grand émoi chez les clients de l’établissement : l’épouse d’un des pensionnaires s’est enfuie avec un jeune homme qu’elle connaissait depuis quelques heures seulement. Le narrateur de l’histoire prendra la défense de cette femme et sera soutenu par une vielle dame anglaise, Mrs C. Celle-ci racontera au narrateur son histoire, assez similaire à celle de la femme conspuée par les autres.

A 42 ans, veuve depuis 2 ans, elle visitait Monte-Carlo et ses casinos pour se distraire un peu. C’est là qu’elle rencontra un jeune homme complètement anéanti : il venait de perdre tout son argent. Comprenant ou imaginant que ce dernier songeait au suicide, elle décida de l’aider et vécut ainsi les 24 heures les plus intenses de sa vie…

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 Zweig nous tient en haleine jusqu’au bout de son récit sur la perte de contrôle de soi, le qu’en-dira-t-on, la médisance, l’addiction au jeu, la passion, l’écoute de l’autre et le besoin de se confier pour pouvoir se libérer d’un fardeau. A un certain moment, le Zweig-narrateur cède la parole à la vieille dame qui évoque le souvenir d’une passion fugace.

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Quatrième de couverture

Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d’Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d’un des clients, s’est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n’avait passé là qu’une journée… Seul le narrateur tente de comprendre cette « créature sans moralité », avec l’aide inattendue d’une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d’une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l’auteur d’Amok et du Joueur d’échecs, est une de ses plus incontestables réussites.

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